+ W.T. + [Cours de DCFM]

Le jeune professeur sortit de sa salle devant les élèves rangés. Le groupe commenca à rejoindre les grands escaliers. Tout en avancant, Cédric annonca :

“On va descendre...”

Ce jour-ci, les escaliers ne bougeaient pas, un gain de temps pour les élèves et pour Cédric. Au bout de quelques secondes, ils arrivèrent dans l’anti-chambre du château, près des sabliers des Maisons. Il se retourna et tapa dans ses mains, comme pour attirer leur attention.

“S’il vous plaît...Chuut...
Nous allons rentrer dans la Grande Salle, tenez vous bien !”

Cédric pouvait passer pour un vieux grincheux demandant le silence pour rien, ainsi que de bien se tenir, mais lorsqu’ils entrèrent dans la Grande Salle, ils pouvaient comprendre... La salle était vide, il ne restait que la table des professeurs tout au fond de la salle. Le professeur Dumbledore, habillé d’une robe lilas, était dans un coin de la salle, entré dans une grande discussion avec un homme inconnu et le Professeur McGonagall. Le jeune professeur fit signe à ses élèves d’entrer avec un sourire rassurant. C’est vrai que ça pouvait inquiéter les élèves... Est-ce que Poudlard s’était fait voler tout son mobilier ? Non, il avait été retiré volontairement. D’un signe de la main timide, il salua le directeur puis se placa en face des élèves, assez intimidés eux aussi. Cédric prît une inspiration et dit :

“Rapprochez-vous s’il vous plaît...”

Il ajusta rapidement sa robe et regarda les élèves...

Invité

Gryffon suivit le mouvement de groupe et entra lentement dans la Grande Salle en regardant autour de lui, très étonné. Cédric paraissait très précautionneux alors qu'il n'y avait rien du tout dans la Grande Salle, mis à part le Professeur Dumbledore, la vieille Mac Gonagall et un inconnu. Mais pourquoi le Poufsouffle prenait-il autant de soin pour ne pas faire de bruit? C'était bizare tout ça! Mais quand Cédric dirait-il ce qu'y allait se passer aujourd'hui? En tout cas, c'était pas pour tout de suite apparement... Il se rapprocha lentement du Poufsouffle et attendit, les bras croisés...

Parvati qui n'avait pas attendu la réponse de Rose, avait suivit la petite assemblée, menée par Cedric. Ce jours-ci, les escaliers ne faisaient pas de sleurs, et pour la jeune Gryffondor, c'était plus étrange que rassurant. Elle l'avouait, elle aimait bien voir les escaliers bouger en tout sens, ça donnait un certain charme à Poudlard. Ainsi que son mobilier, qui semblait avoir disparu. La jeune fille savait très bien que c'était intentionnel; mais elle se demandait où on avait bien pû les ranger. Peut-être dans la Salle sur Demande. C'était possible, mais alors elle était peut-être impossible d'accès. La jeune fille secoua légèrement la tête. Pourquoi fallait-il qu'elle se complique toujours la vie ? Ne pouvait-elle pas apprécier les choses telles qu'elles étaient sans trop en demander ? Cependant, une autre pensée hantait son esprit. Elle revoyait le visage de Thomas, dans la Volière, le jour de leur rencontre et aussi dans la Salle du Miroir du Rised. Puis, elle revoyait le visage de Jordan, étonné de la trouver derrière un buisson, le voyant jouer au basket-ball, et bien entendu, le voir combattre le loup-garou. Une pensée vint se glisser dans son esprit, mais elle n'était pas réelle, c'était un reve qu'elle avait fait, il y avait peu de temps. Un peu avant le départ de Thomas, et bien entendu avant le décès de... Parvati détourna le regard, et le posa sur un portrait qui restait l'un des seuls mobiliers à être encoreà sa place. Elle ravala ses larmes, puis reposa son regard sur le groupe d'élèves. Apparemment, Rose et elle refermait la petite assemblée. Cependant, bien que les élèves soient peu, ils parlaient avec agitation. Pas étonnant après tout, c'était des filles pour la plus grande majorité. Et les filles n'étaient-elles pas plus suspectes aux sujets de conversations que les garçons ? Pourtant, Rose et elle semblaient démontrer le contraire. Arrivée devant les portes de la Grande Salle avec les autres, Parvati esseya de chercher une faille à travers les portes dorées, mais elle ne trouva rien. Elle harqua un sourcil, puis haussa les épaules, s'adressant à Rose. Puis, Cedric les fit rentrer dans la Grande Salle, il avait l'air anxieux. Au moment où les portes s'ouvrirent, Parvati comprit pourquoi. Les tables de Serentard, Poufsouffle, Serdaigle et Gryffondor avaient disparues, mais se tenait à la table des professeurs, un Professeur Dumbledore, souriant gaiement à la petite troupe. Il était accompagné du Professeur Mc Gonagall, une femme aux allures bien sévères, mais qui était une très bonne professeur de Métamorphose, bien qu'elle n'eut le droit à ses cours pendant seulement 4 ans. La jeune fille se demandait pourquoi elle avait si soudainement décidé de ne plus assurer ses cours. L'esprit de la jeune Indienne était pourtant toujours occupé par une personne, qui ne faisait pas partie du groupe qui se tenait dans la Grande Salle. Revenant à la réalité, Parvati remarqua un homme qu'elle ne connaissait pas. Cedric leur demanda de se rapprocher, et malgré sa peine, Parvati prit Rose par le bra,s son sac à dos vacillant sur son épaule gauche et la fit avancer avec elle plus près. La jeune Gryffondor croisa le regard du Directeur, puis baissa les yeux. Elle n'arrivait pas à soutenir son regard plus de quelques minuscules secondes. Cependant, elle observa Cedric, qui avait l'air de plus en plus anxieux. Elle croisa son regard, esseyant d'être rassurée, mais elle n'y parvint pas. Parvati avait lâché le bras de Rosalie avec délicatesse, mais elle n'était pas du tout rassurée. Pourquoi le jeune Poufsouffle était-il comme ça ? Y avait-il avoir une fermeture de l'école ?

Dès que les élèves furent rapprochés le plus possible à l'avant de la salle, la porte de la grande salle s'ouvrit de nouveau. Une centaine d'élèves entrèrent dans un bruit sourd dans la salle. Les bruits qu'on pouvait entendre étaient les chuchotement anxieux et des professeurs essayant de discipliner les élèves n'étant pas dans les rangs. La salle fut très vite remplie. Les élèves qui venaient d'entrer étaient essentiellement des Septième année de toutes les Maisons...Cédric fit quelques clins d'oeils à la vue de certains de ses amis Poufsouffle. Les professeurs qui venaient d'emmener les élèves se rassemblèrent vers la table des professeurs : il y avait un tout petit sorcier à la voix fluette, Professeur Flitwick, un homme grand aux rideaux de cheveux graisseux avanca d'une démarche chaloupée, Professeur Rogue, et une femme aux énormes lunettes portant de longs châles et dégageant une odeur de xérès, Professeur Trelawney. Les Professeurs se saluèrent entre eux, ainsi que l'inconnu. Cédric retira sa cape de professeur qu'il avait enfilé et se faufila entre Gryffon et Parvati, se mettant au même rang que les élèves. Il tourna la tête vers Gryffon et dit :

"A vrai dire, je sais pourquoi nous sommes ici, mais je n'avais pas le droit de vous le dire, mais se sera plus interessant plus tard..."

Le jeune homme élargit son sourire et s'éclaircissa la voix, attendant que le silence vienne dans la salle et que le professeur Dumbledore prenne la parole. La pluie fouettait les hautes fenêtres et le plafond enchanté tournoyait en volutes sombres au-dessus d'eux. L'inconnu serra d'une main chaleureuse celle du Professeur Flitwick, montrant son visage aux élèves. Il était étrangement incolore, avec des cils transparents, des cheveux fins et un air immatériel, comme s'il aurait suffi d'une simple rafale de vent pour l'emporter. En ecarquillant les yeux, le professeur Rogue incita le silence aux élèves de sa maison qui étaient les seuls à parler. Le professeur Dumbledore s'avanca vers le devant de la table des Professeurs, et leva les bras, comme si il voulait étreindre toute la salle. D'une voix solennelle, il annonca.

"Bonjour à vous tous chers élèves... Comme vous avez pu le savoir, nous avons perdu dernièrement un de nos élèves de la maison Poufsouffle, et quelques semaines auparavant, c'est notre Directrice de Poufsouffle qui nous a quittés. Vous savez sûrement que l'élève est décédé à la suite d'un sortilège impardonnable. C'est pour ceci que la plupart des élèves de cette école sont réunis à ce jour... A présent, je vais laisser la parole à mon cher ami qui va vous expliquer la raison de cette assemblée..."

Le professeur tourna son regard vers l'homme à la frêle charpente, qui s'avança lentement. Il prît la place de Dumbledore et dit d'une voix forte.

"Bonjour. Je m'appelle Wilkie Tycross, et je suis envoyé par le ministère pour être votre moniteur de transplanage..."

Les voix s'élevèrent chez les élèves. Un moniteur de transplanage alors que certains élèves n'ont pas atteints l'âge minimum ? La voix du sorcier fit taire presque immédiatement les rumeurs.

"J'imagine bien sûr que certains douvent se poser des questions. Comme vous le savez, Pomona Chourave, ainsi que Jordan Evans ont été attaqués par des sorciers inconnus à l'école. C'est pour celà que le Ministère a décidé que je donne durant plusieurs semaines des leçons de transplanage pour ceux qui ont minimum 16 ans, et pour ceux plus jeunes, je les inicierais au transplanage d'escorte. Le Ministère pense qu'il serait préferable de vous preparer à une évacuation de Poudlard rapide si l'école est attaquée."

Le Professeur Dumbledore était absolument contre cette préparation, car en cas d'attaque, il serait obligé de rompre les sortilèges contre les transplanages, mais le Ministère avait été formelle à ce sujet.

"...Mais vu que je suis le seul moniteur de transplanage, vos professeurs ont étés formés pour vous donner les premières leçons de transplanage aujourd'hui. Toutes les salles de cours ont pus être désenchantées."

La formation avait duré plus de 7 heures, ce qui avait très vite saoulé Cédric, mais c'était pour Poudlard.

"A la fin de plusieurs semaines, certains auront peut être leur diplôme de transplanage, mais bien sûr je ne parle qu'au Septième année. La leçon d'escorte sera beaucoup plus rapide, et c'est d'ailleurs ce que vont vous apprendre certains de vos professeurs : Professeur Trelawney pour les Septième année de Serdaigle et Serpentard, Professeur Rogue des Première année, Deuxième année et Sixième Année de Serpentard et Serdaigle, Professeur Flitwick des Troixième année et Quatrième année, Professeur Diggory des Cinquième année, Sixième année Poufsouffle et Gryffondor et Septième année Poufsouffle,Gryffondor et Serpentard, et enfin Professeur Macgonagall des Sepième année Serdaigle..."

Tycross était persuadé que les élèves n'avaient pas suivis, mais les professeurs allaient sûrement leur rappeller. En tout cas, tout ceux que Cédric avait dans sa classe aujourd'hui étaient de son groupe. Le jeune homme s'avanca légerement et s'adressa à sa classe.

"Voilà à quoi va servir la leçon d'aujourd'hui : Le Transplanage. J'espère que vous l'apprecierez ^^"

Il fit un sourire charmeur puis retourna dans les rangs comme un élève. Après quelques secondes d'un brouhaha assourdissant, le directeur invita aux élèves à retourner dans leurs salles de classes.

[HJ : Répondez tous après mon rp, ensuite je continuerais le rp dans la salle de Défense.
Désolé pour les fautes, j'ai eu la flemme de me relire...]

Invité

Gryffon écouta tranquilement tout le parler, ce qui dura dix bonnes minutes. Les bras croisés, il attendit la fin du discours. Lorsqu'il entendit qu'il allait apprendre le transplanage, un sourire heureux vint de poser sur ses lèvres! Il allait enfin apprendre à le faire! Bien qu'il ait déjà quelques bases, il aurait sûrement son diplôme dans quelques temps! En plus, son professeur, c'était Cédric! Vraiment bien fait pour une fois la répartition! Il regarda ses amis de toutes les maisons avec entrain et alla vers quelqu'uns de ses grands amis avec lesquels il parla longuement! Transplanage... Ah, le mois qui venait promettait d'être passionant! Gryffon se retourna et marcha vers la salle de cours...

Rosalie avait sentit un sentiment de joie monter en elle. Le transplanage ! Elle avait toujours adoré ça, depuis toute petite. En effet, ses parents avaient souvent utilisés le transplanage d'ecorte avec elle, et elle adorait la sensation. Elle reconnut dans la salle le directeur et la professeur de métamorphose dans un coin. Le ministère... Voilà qui parraissait intérréssant, parce que si le ministère se chargait lui même de ces cours, l'heure devait être grave. Pourtant, au temps de Voldemort, on n'avait pas pris de telles précautions... Il faut dire aussi, que l'école avait fermé, ceci explique donc cela. En raison de son jeune âge, elle ne pourrait pas passer son permis de transplange, pourtant, elle allair avoir 17 ans bientôt... Et bien après tout, elle verrait bien, mais si on la collait au transplanage d'escorte, le cours allait être beaucoup beaucoup moins intérréssant. Elle soupira. Des fois, la chance n'était vraiment pas de son côté. A première, vu, il n'y avait pas grand monde de septième année. En effet, à sa connaissance seul Gryffon y était. Elle se rappelait de leur entretien dans le parc. Rien de bien passionnant. Et pourtant, elle s'était juré de faire des efforts... Ce qu'elle ne comprenait pas, c'est que avec le départ de Thomas, tout avait basculé. Mais il suffit d'un grain de sable, et l'image du froissement d'elle de papillon au japon, lui revint à l'esprit. Un fremissement sur sa joue. Mais le sourire ne vint pas. Etre si mélancolique, ne lui ressemblait pas, même à elle. Toutes ses craintes ressurgissaient, elle n'avait pas vu Nina depuis un bout de temps, mais si il lui était arrivé quelque chose de grave elle l'aurait su. Poudlard, avait beau être grand, les nouvelles allaient très vite. Le cours lui revint à l'esprit. Cedric, n'avait que 17 ans, et pourtant, il devait avoir son permis pour leur apprendre. Surement avait-il fait une formation, qui était toujours barbante. Son frère avait dit ça une fois. Comme quoi, il n'était pas toujours aussi inutile, quand il le voulait ! Pauvre Edward... Elle se rappelait de lui... Ses cheveux cuivrés, son sourire narquoi... Elle n'avait jamais était proche de sa famille, à part de lui. Mais ils se ressemblaient, à la différence que Edward, lui, parlait, mais uniquement avec sa famille proche. En pensant à lui, elle se souvint de son enfance, de tous ses moments passés chez elle. Et elle ne s'attendait pas du tout à sa réaction. Le chagrin monta à une vitesse fulgurante, et elle dut faire appel à tous ses sens, pour ne pas pleurer. Elle prit sa baguette, et murmura un sort, pour que les larmes s'évaporent. Moyen discret, pour ne pas attirer l'attention... Il fallait vraiment qu'elle se concentre, ou sinon elle n'aurait pas ses examens. Mais elle savait que de toute façon même en écoutant, elle ne les aurait pas. Rose avait toujours était très mauvaise en cours, à la différence de tous ses autres frères et soeurs, qui eux étaient brillants. Surement ce fait l'avait fait encore plus s'éloigner. Bon, elle essaya de ne plus penser, et se concentra sur l'image de Cedric, puis retourna en classe, pensant qu'il n'y avait plus rien à voir ici.

À l’horaire, cours de Défense contre les forces du mal. Le dernier cours s’était déroulé plutôt mal, il faut se l’avouer, ce qui rendait Ashley réticente à s’y rendre. Après tout, peut-être même se verrait-elle refuser au cours. Elle était dans la salle commune des Poufsouffles, toujours la même question qui la tenaillait.. Elle s’y rendait, ou pas? Elle renonçait de plus en plus à se présenter en cours, n’y voyant plus trop d’intérêt. Mais bon, après long moment, elle finit par se lever, prendre quelques trucs qu’elle fourra dans un sac, puis sortis de la salle commune, direction : Deuxième étage. Bon, une fois de plus, ses vêtements ne respectaient pas le code vestimentaire exigé, elle ne portait pas l’uniforme, mais une jupe courte, et un T-shirt. Mais bon, ce n’était qu’un détail. Elle accéléra le pas pour ne pas être plus en retard qu’elle ne l’était déjà. Alors qu’elle allait entré dans la classe de Défense contre les forces du mal, elle réalisa que non seulement, la porte était fermée, mais aussi que la classe était non seulement dépourvue de mobilier, mais aussi d’élèves. Elle sourit donc, satisfaite, elle n’aurait donc pas à y assister… Quoiqu’elle restait tout de même intriguée par cette constatation. Elle haussa les épaules et tourna les talons, se demandant où Cédric et ses élèves avaient-ils bien pu se rendre. Boff, de toute façon, ça ne l’importunait que très peu. Bon, elle trouvait les cours de Cédric intéressants, on ne peut se le cacher, mais elle se retrouvait toujours à être grandement inattentive ou rêveuse lors de ses cours, allez savoir pourquoi. Alors qu’elle tournait un coin pour retourner vers sa salle commune, elle vit un groupe d’élèves plutôt nombreux, marchant vers la grande salle. Elle suivit donc le groupe de quatrièmes années, escortés par un enseignant.

Alors qu’elle entrait dans la grande salle, elle repéra Cédric, et les élèves s’étant présentés au cours de DCFM. Elle s’approcha du petit groupe, puis se fondit dans eux. Elle détestait plus que tout être en retard, Habituellement, elle se contentait de sécher, si elle savait qu’elle ne serait pas à l’heure, mais bon, elle faisait exception. En passant près de Cédric, elle murmura des excuses, pour son retard, baissant légèrement les yeux, et alla près de Rose, regardant, intriguée, tout comme les autres, ce qui se passait. Les tables avaient été retirées.. Non mais… C’était quoi l’idée de dépourvoir l’école des meubles? Le directeur était là, ainsi que la majorité des élèves et du corps enseignant. Décidément, elle ne comprenait pas ce qui se tramait. Puis, Dumbledore prit la parole, s’en suivit les paroles d’une homme. Elle écouta d’une oreille distraite, son regard était ailleurs, et sa concentration aussi, par le même moment. Elle comprit vaguement qu’ils apprendraient à transplaner, ou quelque chose dans le genre. Elle regarda tour à tour le Directeur, Cédric, puis quelques élèves, alors que Dumbledore les invitaient à retourner en classe.

Quand Cedric fit rapprocher les élèves de la table des professeurs, Parvati remarqua qu'elle ne les avait pas tous vu. Elle découvrit le professeur Flitwick, toujours avec sa petite voix flutée, il discutait avec le professeur Mc Gonagall, qu'elle avait déjà vu. Puis, la jeune fille vit qu'il y avait aussi le professeur Rogue. Elle aurait bien soutenu son regard, mais après ce qui s'était passé avec Thomas dans la Salle du Miroir, elle préfèrait s'en abstenir, au risque que le professeur ne se rende compte que s'était la jeune Gryffondor qui était dans cette Salle à cette heure bien tardive. Les yeux fixés sur le sol, elle posa cependant son regard sur le professeur Trelawnay. La jeune fille avait toujours eut beaucoup d'amiration à son égard, mais le professeur ne faisait plus de cours, et ne semblait pas très emballée d'en refaire. La jeune Indienne se demanda pourquoi il manquait le professeur Chourave, puis elle se souvint qu'elle avait été portée disparue, puis retrouvée morte. Cette pensée lui fit revenir une vision d'horreur dans son esprit : Un jeune homme, d'environ son âge, mignon, gentil et un bon ami, les yeux figés par la stupeur, allongé sur de la terre. Lorque cette pensée l'envahit, ses larmes perlèrent sur ses joues, mais elle remarqua, qu'elle n'était pas la seule à rester réservée, baissant les yeux. Cependant, contrairement à Rosalie, elle n'utilisa pas la magie pour faire disparaître ses larmes, mais utilisa le revers de sa main. Il n'y avait plus de traces des larmes extérieurement, mais à l'intérieur, son coeur semblait battre de moins en moins. Pourquoi fallait-il que tous ses proches partent ? La jeune fille se reconcentra sur la scène et put remarquer qu'Ashley était dans le petite groupe, apparemment elle avait hésité à venir. N'osant pas aller la voir, la jeune fille écouta donc le professeur Dumbledore. Elle reconnut l'homme qui était inconnu jusqu'à présent aux élèves. C'était le responsable de Transplanage du Ministère. Du Transplanage ? Pourquoi pas. Si il le fallait, elle le ferait. En fait, elle s'était attendu à quelque chose de plus défensif... Puis le professeur Dumbledore leur rappela que Jordan était partit à cause d'un Sortilège Impardonnable. A cet instant, elle fut plus motivée que jamais. Si il fallait apprendre le transplanage d'escorte, elle le ferait; même si celà ne l'enthousiasmait que peu. A présent, il fallait que les élèves essaient eux-mêmes de se protéger de sMangemorts, l'heure était donc grave...