S'ennuie, se sent seule [Pour l'instant Myavi]

Le temps qui se prêtait aux élèves de Poudlard, l'école de Sorcellerie la plus célèbre au monde, était beau et l'atmosphère douce. Quelques élèves étaient sortis du château. On ne pouvait pas les qualifié comme étant courageux, vu qu'il ne faisait pas extrèmement froid. On pouvait voir de temps en temps, des mines un peu plus assombries que d'autres. Souvent, c'étaient des élèves qui étaient là depuis trois à cinq ans. Ils devaient certainement s'ennuyer de ne plus avoir d'amis proches. Les premières années, au contraire, étaient les plus surexités, des vraies petites puces. Ils aimaient se ballader, rencontrer du monde; même les personnes les plus indésirables semblait leur apporter du bonheur. D'ailleurs, les élèves indésirables n'étaient plus très fréquents, d'ailleurs on n'en voyait presque plus... A voir si ils n'avaient pas disparus de la circulation. Quant aux sixièmes et septièmes années, ils affichaient tous de temps en temps un petit sourire. A croire que le printemps ne se prêtait pas vraiment aux amourettes, mais plutôt à la haine.

Plus le temps passait, plus les élèves semblaient se refermés sur eux-mêmes, oubliant si ils redeviendraient un jour heureux. Parvati faisait partie de ces personnes. Elle ne voyait plus grand monde. A la limite, Cho, mais sinon, Poudlard était vide pour elle. Un château qui pouvait accueillir tant de monde pourtant. Sa famille lui manquait, mais elle s'était résignée à ne plus écrire, pour ne plus être déçue quand elle ne recevait rien. La jeune Gryffondor, descendait d'ailleurs ce jour-ci, les escaliers qui menaient au parc, esquissant de faibles sourires aux plus jeunes, ne voulant pas montrer une image négative de Poudlard. La jeune fille s'assieds aux pieds d'un arbre, elle n'était pas très heureuse, et l'avouait. Encore, il y avait quelques temps, elle pouvait se confier à des personnes qui l'aimaient, comme elle était. A présent, il y avait Cho qui se souciait d'elle, mais certains n'étaient là que quand elle pleurait. Ce n'était pas une tactique pour attirer du monde, mais certains venaient à elle que dans ces conditions. Ne voulant pas attirer encore les regards des autres pour rien, -surtout de ceux qui ne lui parlaient pas tant que ça- elle monta sur les branches de l'arbre, observant le Saule Cogneur. L'une des branches de l'arbre fou furieux claqua tout près de son visage, et la fit tomber à terre. Elle grimaça, son poignet était peut-être foulé, mais elle s'en fichait. Les larmes lui montaient aux yeux, mais elle ne pleura pas, se souvenant que la dernière fois qu'elle avait pleuré, elle avait eu un amour brisé. Cependant, des personnes lui manquaient, et surtout elle commençait à se poser des questions sur son passé. Et si Jimm revenait ? Et si Dorian revenait aussi ? Et si Graham et Zack n'avaient pas disparus en fin de compte ? Et si Thomas réapparaissait ? Que ferait-elle ? Ses pensées se bousculaient dans sa tête. La jeune Gryffondor se rapprocha de l'arbre, se recroquevillant sur elle-même, se retenant de pleurer, des larmes de véritable tristesse et surtout... de solitude.

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Allongé sur l’herbe fraîche du parc, le jeune Miyavi jouait de la guitare en observant attentivement les nuages, complètement plongé dans ses pensées. La plupart des gens qui l’entouraient étaient à deux ou trois, voir même dix. Mais Miya’, lui, était tout seul. Et contrairement à certaines personnes, il aime énormément la solitude. Ca lui permet de faire le point sur sa vie et de s’envoler sur son petit nuage, ne pensant ainsi pas aux problèmes de la vie. Alors qu’il remarquait qu’un nuage avait une forme de clé de sol, un hiboux le frôla de justesse. Après un mouvement de sursaut et un vive retour à la réalité, le jeune homme dénia enfin de se lever pour voir cet étrange bestiole qui avait manquer de peu de s’écraser sur le gryffondor. Miya’ prit sa guitare en main et alla voir l’oiseau qui était allongé à côté d’un arbre. Après l’avoir longuement observé, il en conclu que c’était Lune, son petit hiboux que son père lui avait acheté à sa premier année de Poudlard. Le jeune homme déposa sa guitare à côté de lui et s’assit en tailleur sur l’herbe, prenant la petite créature dans ses mains. Apparemment, Lune apportait une lettre au jeune homme… Mais où est cette lettre? Miya’ n’en a pas la moindre idée. Après lui avoir donner un petit peu à manger, l’oiseau se ré envola dans la même direction qu’il était venu. Au même moment, un bruit sourd retentit derrière Miyavi qui sursauta à nouveau:que se passe t’il cette fois ci? Un hippogriffe c’est écraser contre un arbre? Miyavi se leva une nouvelle fois, laissant sa guitare près de l’arbre. Ce n’était pas dans son habitude de laisser son instrument sans surveillance, mais sa curiosité était plus forte que l’inquiétude. Il fit lentement le tour du petit arbre avant de remarquer une jeune fille sur le sol qui était sûrement tombé de l’arbre. Miyavi remarqua aussi que son poignet était légèrement enflé, elle devait donc avoir mal. Alors qu’il s’approchait lentement de cette fille, elle se recroquevilla sur elle-même… Miyavi eu un pincement au cœur:il déteste voir des personnes malheureuses…Il s’accroupi en face de Parvati et, avec douceur et gentillesse, lui prit lentement le poignet légèrement enflé de la jeune fille en l’observant attentivement. Il sortit de sa poche un petit comprimer de couleur rosâtre:il a toujours des médicaments contre la douleur dans sa poche, on ne sait jamais ce qui peux arrivé! Il le déposa dans la paume de la main de la jeune fille en lui murmurant:

« Tenez, avalez, c’est un médicament moldu contre la douleur…Je ne sais pas si vous appréciez énormément les moldus, mais en tout cas il font de merveilleuses choses niveau médicale. »

La jeune Gryffondor n'avait pas pour habitude de tomber des arbres. Habituellement, elle tenait stablement sur eux, et ils étaient comme ses amis. Sa peine était grande. Si même la nature lui tournait le dos, comment arriverait-elle à s'en sortir ? Jamais Dame Nature n'avait été si dûre envers la jeune fille. Elle avait toujours forcé la jeune fille Indienne à surmonter des épreuves. Oh oui ! Que des épreuves, et la plupart de souffrances. Comme cette trahison de Drashal, il s'était installé dans une relation amoureuse avec Nina, et ils n'avaient même pas rompu. Après être partit en vacances, elle avait appris qu'il avait été retrouvé à Poudlard, mort. Puis oubliant ses peines de coeur, elle s'était initié dan sune relation avec un Serpentard, Dorian, qui au bout d'à peine deux semaines avait disparu. Puis, attendant longtemps, plus d'un mois, ne le voyant pas ressurgir, elle avait décidé d'aller avec Jimm, un Serdaigle. Cependant, celui-ci lui avait fait le coup de la cape d'Invisibilité. Il avait disparu lui aussi très vite. Et dire qu'elle avait refusé les avances de Graham, et allait avouer ses sentiments à Zack. De toute façon, elle n'aurait pas pû choisir, le choix étant beaucoup trop difficile. Puis, il y avait eu Thomas, avec qui elle était sortit, puis avec qui elel avait rompu, puis il avait disparu. A présent, il restait peu de garçons à Poudlard et d'ailleurs, il restait peu de monde en général.

La jeune Gryffondor, toujours dans cette position inconfortable, sentit quelqu'un lui ouvrir la main, elle cligna des yeux, mais ne vit personne à cause de ses genoux, collés presque à son visae, ainsi que ses cheveux qui lui tombaient devant les yeux. Puis quand elle entendit qu'on la vouvoyait, elle releva la tête, croisant le regard d'un jeune homme. La jeune fille songea qu'il faisait peut-être partie d'un groupe de rock, ou d'autre chose, vu sa coupe de cheveux, et puis quelques traits semblaient le démontrer. En tout cas, il devait être un musicien, elle n'en doutait pas. Elle, elle n'y connaissait rien en musique, à part peut-être quelques petits morceaux qu'elle avait joué, aux alentours de Noël, quand elle devait rentrer chez elle. La jeune fille remarqua un comprimé dans sa main. C'était un médicament moldu ! La jeune fille écouta le jeune homme, il semlait être d'origines moldue,s ou tout du moins, il les appréciait. Parvati trouvant cette position assez inconfortable pour discuter, se releva doucement, clignant des yeux pour ne pas faire couler de larmes sur son visage. La pensée de Jordan lui revint, il était doué en basket lui, amsi elle chassa l'ex Poufsouffle de son esprit. On ne pouvait pas revenir en arrière, c'était terminé. Parvati, qui s'était relevée avec douceur, regarda le jeune homme dans les yeux, acceptant d'un simple regard le médicament. Elle réussit à dire, en esseyant de sourire, elle y parvint, bien que faiblement.

- Merci beaucoup. Vous...enfin, tu peux me tutoyer tu sais. Et j'apprécie les moldus, encore heureuse, j'en suis une.

Invité

Miyavi souria, comme toujours. Les paroles de la jeune fille le rassurèrent:au moins, elle ne s’était pas frappé la tête contre le sol quand elle est tombé de l’arbre comme elle a l’air d’être consciente. Miya’ jeta un rapide coup d’œil autour de lui:personne…Était-ce voulue de la part de la jeune fille de tomber de l’arbre? Le jeune homme ne savait pas, et ce n’était pas vraiment ses oignons. Alors qu’il pensait s’en aller pour laisser la jeune fille en paix, il remarqua que des petites larmes faisaient tout pour couler sur les yeux de Parvati. Miyavi s’assit en tailleur face à elle:des fois il est peux être un peu trop collant, mais détestant voir les gens malheureux, il essai de leur parler pour leur faire oublier leurs problèmes. Des fois, sa tentative pour aider les autres échoue mais comme dit le proverbe:qui ne tente rien n’a rien! Un petit silence s’installa autour des deux jeunes personnes. Miyavi se creusait tant bien que mal sa petite cervelle pour trouver quelque chose qui ferait soit rire la jeune fille, soit lui ferait penser à autre chose. Un petit vol sur balais? Non, si la jeune fille voulait mourir, elle pourrait bien se laisser tomber de son balais…Miyavi passa une main dans ses cheveux bleutés, réfléchissant encore et toujours. Ne trouvant pas d’idées, il se contenta de soupirer. Il plongea son regard noisette dans celui de la jeune fille, toujours en souriant

« Désolé, c’est une habitude de vouvoyer les gens que je ne connais pas encore. »

Murmura Miya’. En effet, il vouvoie tout le monde, que la personne soit plus grande ou plus petite que lui.

« Tu as besoin de quelque chose? De l’eau, ou bien des gâteaux. Demandes moi, je n’ai rien a faire pour le moment. »

Il se rapprocha légèrement d’elle pour lui murmurer:

« Et dis le moi si je suis un peu trop collant »

Il se rassit correctement, son sourire s’étant encore agrandit.

Quand le jeune homme souria, Parvati fut un peu intriguée. Il avait l'air de croire qu'elle avait fait exprès de tomber de l'arbre, comme pour se suicider. Bien heureusement, ce n'était pas le cas, mais il ne pouvait pas non plus deviner. Effectivement, dans ces instants, il arrivait que l'on ne sache pas à quoi pense une personne en particulier. La jeune Gryffondor avait toujours eu cette souplesse pour monter un peu partout, que se soit sur les arbres, sur les perchoirs, ou même sur des armoires. Habituellement, elle avait une agilité hors du commun, cependant, en ce moment elle n'était pas en pleine forme, et c'était certainement le choc de voir un de ces amis, étendu sur un sol boueux, son corps inerte, mort; qui avait facilité le manque de nourriture, et surtout de sommeil de la jeune fille. Elle était effectivement, épuisée. Dormant entre quatre et cinq heures dans une nuit, elle se retrouvait souvent à lire des livres, lu et relu pour elle ne savait combien de fois. Ou alors, elle se mettait, en plein milieu de la nuit, à ranger son dortoir, recoudre ses draps, ou encore se mettre à écrire des lettres inachevées. Parfois, elle sortait son journal intime, dans la seule conviction de se libérer, mais c'était impossible, elle n'y arrivait jamais. La seule chose qu'elle réussissait à faire et qui ne lui prenait pas beaucoup de temps, c'était de faire ses devoirs. Quand on se sent abandonné, on arrive plus à vivre correctement. Elle l'avouait, elle en avait assez d'espérer retrouver quelqu'un sur qui elle pouvait se reposer. Cependant, quand Miyavi lui dit qu'il avait pour habitude de vouvoyer les gens, Parvati esquissa un faible sourire, faible, mais elle souriait. Puis le jeune homme lui demanda si elle voulait quelque chose à manger. La jeune fille hocha calmement la tête d'un signe négatif, esseyant d'oublier ses pensées sur le jeune Poufsouffle qu'elle avait tant aimé. Elle lui répondit donc avec gentillesse.

- Non merci, c'est gentil. J'aurais vraiment besoin de manger, mais il faut que j'essaie de me responsabiliser.

La jeune fille lui fit un petit clin d'oeil, bien qu'un peu raté et esquissa un petit sourire. Si on lui avait demandé de courir, elle aurait pû le faire, mais elle aurait eut des difficultés. Cependant, il fallait qu'elle se nourrisse seule et qu'elle n'oublie pas de manger. Dernièrement, elle avait oublié le goût de la nourriture, et même si il lui arrivait de manger un ou deux légumes de temps à autre, elle n'en sentait pas le goût. Puis, le jeune homme lui murmura de lui dire si il était colmlant, Parvati hocha la tête toujours négativement. Puis, par la suite, elle esuissa un sourire, qui resta un peu plus longtemps sur ses lèvres.

- Non ! Tu n'es pas collant du tout. C'est vraiment gentil ce que tu fais et tu mérites ta place dans cette école. Au fait, j'ai oublié de me présenter. Parvati Patil, Gryffondor 5ème Année, pleurnicheuse de service et surtout une fille qui a des sautes d'humeur de niveau important.

Invité

Hj: Désolé du retard

Miya’ laissa échappé un soupir:pourquoi se disait-elle pleurnicheuse de service? C’est vrai quoi, tout le monde pleure à un moment ou un autre. Certains pleurent plus que d’autres, il n’y a pas de honte à cela. Miyavi préféra ne rien répondre à ça, ne voulant pas que Parvati le trouve trop curieux et énervant. Toujours un sourire aux lèvres, il répondit poliment:

« Et moi c’est Miyavi, Miyavi Yuma, 5ème année aussi à Gryffondor. Mais si tu ne m’as encore jamais vu ici, c’est simplement parce que je viens d’arrivé…Et au fait, merci mais tout le monde a sa place dans cette école, même les pires serpentard. »

Miyavi mourrait d’envie de savoir ce qui perturbait Parvati mais.. il préféra se taire, ne voulant pas engager une conversation qui mettrait mal à l’aise la gryffondor. Après cinq bonnes minutes de ‘rêvassement’ [O_o ^^], le jeune homme redescendit sur Terre. Il se leva et s’étira, murmurant à Parvati:

« Attend, je reviens… »

Il fit le tour de l’arbre, simplement pour prendre sa guitare. C’est ce qu’il avait de plus chère ici, et il ne voulait pas que quelqu’un l’abîme. Miya’ retourna près de Parvati et se rassit en face d’elle, déposant sa guitare à côté de lui. Il posa son regard sur Parvati et, même si elle lui avait dit non, il prit sa baguette et fit apparaître une petite boîte à côté de lui. Il la déposa sur ses genoux et l’ouvrit, montrant le contenu à Parvati:il y avait des gâteaux au chocolat, des tartelettes de fruits, et bien d’autres petits gâteaux fait par Miyavi…

« Tu es sûr que tu n’as pas faim? Tu sais, ce n’est pas parce que tu manges deux trois ptits gâteaux que tu vas oublier de manger par la suite… »

Têtu? Sans aucun doute. Mais après tout, ce n’est pas forcement un défaut.. si?…

Parvati écouta attentivement le jeune homme se présenter. Alors comme ça, il était dans sa maison ? Et dire qu'elle l'ignorait Elle était vraiment tomber bien bas cette fois-ci, en oublier qui sont les nouveaux, et surtout, oublier les ragots. Mais la question se posait à présent : avec qui les colporter ? Ce n'était pas amusant de faire des ragots seule, et pas du tout amusant. Elle n'aiamit pas s'amuser seule, c''était pour la jeune filel quelque chose de déprimant. Le jeune homme lui dit qu'il allait revenir, et il disparu derrière un buisson. La jeune Gryffondor n'aurait pas été surprise qu'en réalité, il ne revienne pas, la trouvant trop ennuyeuse. A ce grande surprise cependant, il revint et ramena avec lui une guitare, visiblement la sienne. La jeune fille eut un petit sourire. Elle n'était pas vraiment très mélomane, mais elle écoutait pas mal de musique, quelles soient moldues ou non. En fait, elle n'en avait pas de préférer en particulier, bien qu'elle haïssait encore et toujours, ce que le smoldus appelle : le Rap. Apparemment, ce n'était pas le style de musique que le jeune homme composait, ce qui la fit un peu plus sourire. Elle lui demanda avec gentillesse.

- Tu en fais depuis longtemps ?

La jeune fille attendit patiemment sa réponse, et observa les oiseaux chanter. Si elle avait eu une jolie voix, elle aurait aimé les accompagner tout le temps. Les seules fois où elle était heureuse, elle se surprenait à chanter seule dans le parc, au début de la matinée. Seulement, pas question qu'il y est un spectateur. Jamais elle n'avait chanté en public, et jamais elle ne le ferait, détestant que l'on l'écoute. Elle avait toujours eu peur que l'on lui dise qu'elle chantait faux, elle n'avait donc jamais rien fait et gardé ce talent pour elle seule. Elle avait été sur le point de le confier à un de ses proches, mais il était partit, quelques temps plus tard. La jeune fille avait donc sombrée, oubliant la chanson, et tout ce qui allait avec.

Le jeune homme la tira de ses songes, insistant sur le fait d elui offrir un ou deux gâteaux. La jeune Indienne ne pouvait pas refuser cette fois-ci. Il semblait les avoir fait seul, et ils avaien tl'air extrèmement bons. La jeune fille, hésitante, tendit la main vers la boîte, mais la retira doucement vers elle, levant les yeux vers le jeune homme. Elle s'était attendu à ce qu'il lui referme la boîte au nez, et qu'il la dégoûte ainsi des gâteaux jusqu'au restant de ses jours, mais il n'était pas comme ça. Elle prit donc un des gâteaux et en mangea un morceau. Il était excellent, et la jeune fille se surpris à faire un sourire éclatant. Elle dit donc à Miyavi, en souriant, remerciante.

- Merci beaucoup. Tu es plus têtu que moi on dirait. Il est excellent, bravo.

» Seule...[libre à qui veut]
» • Couleurs pour vos rp
» Pour Sandra ><
» Pas ici pour les livres, pas que . PV
» Vole pour se défouler