¤¤Une chanson douce¤¤ [Laure et peut-être après d'autres]

Ce jour-ci, il faisait un temps radieux à Poudlard. Les fleurs étaient sortient de leurs bourgeons, les oiseaux pépiaient gaiement dans le ciel. Les chouettes se reposaient dans leur Volière, après avoir passé quelques longues journées à déposer des paquets bien remplis, entre différents membres de famille. Cependant, si il y avait bien une personne qui n'était pas comme les animaux nocturnes, c'était bien la jeune Gryffondor, Parvati. Elle se levait, à l'heure où les hiboux s'engouffraient en leur dortoir, c'est-à-dire, dans les environs de huit heures du matin. Ce matin-là, elle s'était levée, joyeuse et avait enfilé un pantalon blanc, et avait enfilé un débardeur bleu foncé. Il lui allait très bien. La jeune Gryffondor mettait souvent des vêtements aux belles couleurs à sees yeux. Elles pouvaient en être flash, la jeune Indienne s'en fichait pas mal. Elle évitait seulement de mettre des vêtements de couleur trop foncé, ou attristant à ne serait-ce que leurs formes. La jeune fille avait ouvert la fenêtre de son dortoir, où elle vivait seule pour le moment, laissant à découvert son oreiller et son matelat, recouvert d'un tissu blanc. Elle s'était alors noués les cheveux en queue de chevla, puis avait déposé son chaton sur son lit. Le petit chenapan s'était réveillé, et avait filé en même temps que sa maîtresse du dortoir. Cette dernière n'avait pas pris son sac, car elle ne sentait pas que le danger serait de la partie ce jour-ci. Elle avait fait sa toilette, et avait cependant sa baguette dans une poche qu'elle avait à son jean blanc, au niveau du tibia. Elle sortit de sa Salle Commune, puis du château, chantonnant au rythme du coeur qui s'élevait du parc. Les oiseaux s'ne donnaient à coeur joie, et la jeune Indienne était heureuse de les accompagner. Toujours en sifflotant, elle referma la porte du château, puis commença à faire un peu de marche à pieds, fredonnant au son qu'émettaient les oiseaux, posant son regard sur les abres, le sol, le lac, les Serres, tout. Ses yeux ne pouvaient échappés à rien. Puis, après dix minutes de marches, elel s'installa sur un rocher, observant le lac. A présent, elle ne fredonnait et ne sifflotait plus, mais se mettait à chanter d'une voix mélodieuse. Elle avait toujours caché sa voix aux autres, jamais elle n'avait chanté en public, mais il lui arrivait souvent de chanter sous la douche, vu qu'elle était seule dans son dortoir. Les oiseaux continuaient de l'accompagner, quand elle entendit un faible craquement derrière elle. D'un geste vif, elle se leva et observa les alentours. Il n'y avait rien, mais le soleil avait paru soudain, moins lumineux qu'auparavant.

H.J : Pour le moment, seulement Laure peut répondre, après, d'autres personnes pourront peut-être venir.

Invité

Laure s'était réveillée assez tard ce matin, c'éait surement à cause du soleil qu'elle avait été tirée de son sommeil. Elle n'avait pas envie de se lever, elle serait bien restée à lambiner dans son lit à baldaquins toute la journée en lisant un bouquin. Elle faisait souvent ça quand elle était encore chez elle, mais maintenant ce n'était plus trop possible et ça lui manquait. Il n'y avait rien de mieux pour rester serein, loin des soucis du monde extérieur.
Elle se leva donc avec difficulté. La lumière l'éblouit. Elle cacha ses yeux à l'aide de ses mains et bailla sans se retenir. Puis elle décida quand même de se préparer pour pouvoir sortir. Elle mit un pantacourt kaki avec un haut rose/fushia. Elle regarda l'heure : il était 11h00. Ce n'était donc pas la peine d'aller a la Grande Salle pour déjeuner, elle attendrait le midi. Elle enfila donc ses baskets et décida de se rendre dans le parc pour lire.
Elle descendit donc les escaliers, elle ne croisa personne, apparement, elle était la seule à s'être levée aussi tard, heureusement que c'était dimanche ! Elle rentra dans la bibliothèque et y prit un livre qu'elle avait repérée : Les sorts de de défense et de contre-attaque, c'est vrai qu'elle était très attirée par les défenses contre les forces du mal et qu'elle aimait connaître de nouveaux sorts pour surprendre ceux qu'elle pourrait affronter. Elle l'empreinta donc et sortit. Elle vit enfin où tout le monde était passé : dehors. Elle avait horreur de ça mais tant pis. Elle decida donc d'aller vers le lac, il y aurait surment moins de monde. Ele s'approcha de la rive et entendit quelqu'un chanter. Elle s'approcha pour voir qui c'était. Apparement une jeune fille aux cheveux bruns qu'elle n'avait jamais vu. Elle l'avait surement entendu s'approcher car elle s'était arrêtée et retournée.
- Tu chantes bien

H.J : Nos persos se connaissent déjà, mais on va faire comme si tu m'avais pas reconnue !^^.

En temps habituel, la jeune Gryffondor n'avait pas pour habitude de chanter, ayant toujours peur d'être enendue. Si elle avait souvent tant caché cette merveilleuse qualité, c'était pour éviter les jalousies d'autres jeunes filles. De son côté, elle ne trouvait pas avoir une voix exceptionnelle, et si elle fredonnait ou chatonnait, c'était par pûr naturel. Elle n'aimait pas parler d'elle, ni de sa voix. Pour elle, c'était trop égocentrique et elle ne souhaitait pas discuter de son ego avec le monde entier. La jeune Indienne n'était pas comme toutes ces filles qui se prenaient pour le nombril du monde, et pour elle, la chanson faisait ravage et elle évitait donc de chanter en public. Seulement, ce jour-là, elle ne savait pas pourquoi, les paroles d'une chason lui avaient échappé, un peu comme une gaffe, mais elle n'y avait pas fait vraiment attention, ne s'en étant pas aperçu. Après tout, c'était naturel chez elle. Elle avait cependant, entendu un bruit qui avait troublé le silence du midi. S'étant alors relevé d'un geste vif, elel avait scruté les alentours de ses yeux noisettes, fuyants. Eeffectivement, elle n'avait aucunement enie d'avoir des ennuis. Après tout, personne ne savait ce qu'il advenait des Mangemorts et de sbêtes féroces. Elle scruta encore longtemps les alentours, puis haussa les épaules : A force, elle devait devenir paranoïaque. Elle se retourna donc pour s'assoir, mais elle fit face à une silhouette qu'elle ne reconnut pas au premier coup d'oeil. Surprise, ele étouffa un cri de stupeur. La silhouette devait appartenir à une jeune fille, car la voix était douce. Se remettant de sa frayeur, elle releva la tête et observa la jeune fille. Elle avait son prénom sur le bout de la langue, mais n'arrivait pas à le faire sortir. C'était incroyable tout de même ! Il fallait dire, que son coeur battait toujours la chamade et qu'il était difficle de se concentrer dans de telles conditions. Soudain, elle se souvitn et dit d'une voix joyeuse.

- Laure, Laure Will !

Et sans attendre, elle la prit dans ses bras. Elel était toujours aussi contente de revoir de "vieux" ou "vieilles" ami(e)s qu'elle avait eu au début de sa scolarité précédente. Laure était une jeune fille sympathique, qu'elle avait connu, lorsque la jeune fille caucassienne avait été répartie à Gryffondor. La jeune Indienne relâcha doucement son étreinte. Elle ne souhaitait pas non plus l'étouffer. La jeune fille avait quelques peu changé. Elle avait grandi, contrairement à Parvati qui était restée de même taille à un millimètre près peut-être. Elle semblait avoir aussi mûrit, mais peut-être n'était-ce qu'une impression de la jeune fille d'origines Indiennes. Puis, elle s'aperçut que Laure l'avait complimenté sur sa voix. Elle devint alors rouge pivoine, rouge de honte. Elle avait vraiment honte de sa voix, et on pouvait se poser la question du "pourquoi". Parvati baissa légèrement les yeux, en signe de remerciement et lui murmura un "merci" audible par la jeune Gryffondor, et seulement celle-ci. Puis, elle retrouva ses couleurs mâtes et s'assit à terre, accompagnant de la main Laure, elle lui demanda alors.

- Ca fait longtemps qu'on ne s'est pas vu. Comment vas-tu ?

Invité

HJ : xD c'est vrai j'avais oublié ! Qu'est-ce que le droit de transplange d'escorte ? Je me pose la question depuis un peu et je n'ai jamais pensé à demander^^

Apparement, Laure venait de faire peur à la jeune fille qui se trouvait devant elle. Puis celle-ci l'appela par son prénom, cela lui fit une drôle d'impression. Elle la regarda, cette jeune fille qu'elle ne croyait pas connaître était Parvati Patil, elle était avec elle en cours l'année dernière. Et c'est vrai qu'elles ne s'étaient jamais revues mais elle n'aurait jamais pensé nepas la reconnaître.

- Salut Parvati !

Puis celle-ci la serra dans ses bras. Elle fut surprise de sa réaction mais n'y prêta pas attention. Après tout, c'est vrai qu'elles s'étaient croisées pendant un bon bout de temps ! Quand elle se lachèrent, Laure vit que la jeune Gryffondor était rouge. Cela avait dû la gener qu'elle la surprendre ainsi. C'est vrai que Laure n'aime pas chanter en public, surtout qu'elle ne chante pas specialement bien comparé à Parvati. C'est vrai que cette jeune fille était assez réservée d'après ses souvenirs... Alors qu'elle était redevenue normale, elle ne pu s'empêcher de lui demander :

- Oh bah ça va. Et toi, je suis désolée je ne voulais pas te géner mais tu n'as pas besoin de l'être je te rassure !

La jeune Gryffondor était heureuse de revoir une connaissance. De toute façon, ça faisait toujours plaisir de revoir de spersonnes que l'on connaissait depuis longtemps. Et la jeune fille en faisait partie. Laure avait été une jeune fille très sympa, mais elle ne l'avait pas tant vu que ça en fait. Mais à présent, elle avait l'air d'avoir mûrit, et elle sentait bien que ce n'était pas qu'une impression. La jeune Gryffondor reprit alors sa couleur ordinaire, puis elle écouta Laure qui lui déclara qu'elle allait bien. La jeune Indienne en fut heureuse, c'était rassurant de voir une des anciennes personnes qu'elle connaissait aller bien. En fait, les anciens se faisaient de plus en plus rares. Ce n'était pas pour rien que l'on les appelait les "anciens", bien qu'ils ne soient pas vieux. C'est alors que la jeune Gryffondor caucassienne déclara à Parvati qu'elle n'avait pas à être gênée. Parvati lui dit alors avec douceur.

- Je n'aime pas vraiment que l'on m'entende chanter, d'habitude il n'y a que mon chat qui peut m'entendre.

C'était vrai. Car seul son chat qui était dans le dortoir entendait la jolie voix de sa maîtresse. Parfois, le petit chaton collait son oreille à la porte de la Salle de Bains. Bien que petit, il n'était pas sans cervelle et se demandait pourquoi sa maîtresse avait cette voix-là lorsqu'lele était sous la douche et jamais autre part... En fin de compte, il n'était pas si intelligent que ça, mais Parvati l'aimait c'était le principal. C'est alors que Parvati qui allait être reprise par le gêne lui demanda avec gentillesse.

- Alors quoi de neuf depuis tout ce temps ?

H.J : En fait, c'est un transplanage que l'on fait avec plusieurs gens. Mais seuls Gryffon et moi avons réussi à le passer^^.